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QUENTIN KERAUDREN
Psychologue et artiste, Quentin nous partage son univers. Ses techniques, ses inspirations, il nous emmène dans ses créationsAlienum pha edrum torquatos nec eu, vis detra xit per iculis ex, nihil ex petendis in mei. Mei an per icula
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BIOGRAPHIE
Quentin est né à Montauban et vit actuellement en région parisienne. Il s’intéresse depuis l’enfance à la musique et à la peinture. Après un parcours orienté en arts-plastiques classique, Quentin s’est finalement tourné vers la psychologie. A 33 ans, la peinture le rappelle, dans un virage 100% abstrait, où le spectateur a un rôle clé : laisser libre cours à son imagination.
CE QUE RECHERCHE L'ARTISTE
Accomplir sa tâcheQuentin travaille la peinture sans pinceau, mais avec des gobelets. Ici, la peinture est directement versée ou projetée sur le support, puis déplacée, étirée, parfois essuyée, soufflée…
Le choix des couleurs est déterminant, il convient de respecter une harmonie chromatique. Pour lui, une tâche «réussie» doit être délimitée, nette, et doit surtout permettre à chaque couleur qui la compose d’exister sans affaiblir ni dissimuler ses voisines. Lorsque le spectateur regarde sa toile, il doit pouvoir deviner un thème et une ambiance, sans que cela lui soit imposé.
L’acrylic pouring (parfois appelée «art fluide» en français) est une technique de peinture qui consiste à verser la peinture de différentes façons sur un support, pour créer des rendus graphiques souvent abstraits.
La peinture acrylique est d’abord mélangée à un médium de lissage (colle vinylique) et à de l’eau afin d’obtenir la consistance désirée, la peinture acrylique brute étant trop épaisse pour être déplacée sur le support.
Il s’agit ensuite de déposer ou verser les mélanges selon un ordre déterminé (en respectant les différences de densité selon les couleurs).
Enfin, la peinture est déployée soit par des mouvements de la toile, soit à l’aide d’outils (sèche-cheveux, pipettes, peigne, raclette…).
SES INSPIRATIONS
de J.Pollock à H. Horschach
Quel lien entre un peintre et un psychanalyste ?
Encore et toujours : la tâche. Jackson Pollock pour ses tâches de peinture abstraites, sa liberté de mouvement. Hermann Rorschach quant à lui est l’inventeur du «test de Rorschach», ces tâches d’encre qui dévoilent une partie de la personnalité de celui qui les décrypte. Il l’a bien compris, l’imagination permet de transformer l’abstrait en figuratif, en dévoilant un petit bout de soi au passage.
Un peu comme quand on regarde les nuages, il n’y a pas vraiment de bonne réponse : chacun y voit un bout de lui, quelque chose qu’il connait et à quoi il pense. Il est impossible d’imaginer l’inconnu total ; l’imagination est permise et influencée par l’expérience, les souvenirs et l’humeur du moment. C’est donc l’histoire de chacun qui fera résonner ou non ses toiles. Finalement, nous sommes ce que nous faisons, vivons, voyons et pensons !
Beaucoup verront dans ses tableaux un bout de la Terre vue du ciel ou un morceau de galaxie…
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